Il était une fois… la légende des Amazones, une fière armée exclusivement féminine issue de la mythologie grecque. Ces femmes tatouées, connues sous le nom de « guerrières roses », vivaient aux confins du monde connu, dans une ville située sur les rives de la mer Noire.
On dit que les Amazones étaient privées de leur sein droit, qui était brûlé dès leur plus jeune âge pour améliorer leur habileté à manier l’arc et les flèches. Le nom « Amazones » est en fait dérivé du mot amazòs, qui signifie « sans seins ».
Il est curieux de constater que nous vivons encore dans un contexte qui, qu’on le veuille ou non, est « patriarcal », c’est-à-dire l’exact opposé de ce qui existait à l’époque des Grecs vers 450 avant J.-C. : dans la société des Amazones, composée uniquement de femmes guerrières, le travail domestique était confié aux hommes tandis que les Amazones s’adonnaient à des activités traditionnellement considérées comme masculines.
De nombreuses femmes se retrouvent sans le savoir à être l’incarnation moderne de ces valeureux guerriers, menant la bataille contre les cancers féminins avec ténacité et courage.
Gemels dédie l’histoire de ces héroïnes à l’association « cuore di donna » et à Silvia, récemment décédée à l’âge avancé de 87 ans après avoir lutté courageusement pendant des années contre un mal qu’elle pensait trouver facile, mais qui a au contraire rencontré une guerrière forte qui a vaincu le mal en lui donnant du fil à retordre.
Leur détermination et leur engagement sont une lueur d’espoir et une source d’inspiration pour tous ceux qui luttent contre cette maladie.
Dédié à Cuore di donna, une association contre les cancers féminins et à toutes ses guerrières qui luttent contre le mal comme si elles étaient les héritières des légendaires Amazones d’une époque révolue… vous voulez en savoir plus sur l’association ? Cliquez ici → COEUR DE FEMME – Plus forts ensemble !